Trois ans après l'assassinat du président Jovenel Moïse, l'enquête n'a toujours pas abouti, suscitant une profonde indignation parmi ses anciens ministres. Réunis sous le label AMIJOMO, des figures telles que Pradel Henriquez, Joicéus Nader et Ghislaine Monpremier continuent de dénoncer ce qu'ils qualifient de « crime raciste ». Dans une note, ils réitèrent leur confiance en la justice haïtienne tout en appelant à des sanctions plus sévères pour les responsables.
Le 7 juillet 2021, un commando de mercenaires s'infiltre dans la résidence présidentielle et exécute Jovenel Moïse. Depuis, le pays est marqué par l'instabilité politique et les tensions sociales. Le groupe AMIJOMO souligne les efforts de la justice américaine, tout en espérant que davantage de coupables soient jugés. En ce troisième anniversaire de l'assassinat, des activités commémoratives sont prévues dans l'aire métropolitaine, témoignant de la persistance du traumatisme national.
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